C’est un problème continuel pour l’humanité et on n’en voit pas la fin. Celui de ne voir que le négatif de la vie et de se complaire dans une souffrance intérieure. De ne voir, comme il est dit, le verre à moitié vide et non à moitié plein. De ne pas regarder une fleur car trop banal, mais se concentrer sur l’égout, qui semble tellement plus intéressant.
Juste se poser les questions, comment une graine peut devenir un arbre géant ? Comment une fleur peut-elle prendre une couleur pourpre ? Comment un ouragan peut-il prendre forme, et déchaîner sa violence en détruisant tout sur son passage ? Et encore bien d’autres faits qui se déroulent autour de nous, dans notre petite vie rangée que l’on prend comme étant le centre de l’univers, ce qui est d’ailleurs légitime dès lors que nous sommes présents et impliqués.
Voici un mot de la langue française qui, comme bien d’autres, peut contenir plusieurs significations.
Écrire un poème, c’est du plaisir à l’état pur, comme une porte de sortie de l’ordinaire et des conventions qui s’ouvre et dirige vers la réalisation du rêve. Nul besoin de planifier, recenser, compter ou définir une stratégie. Il s’agit simplement de laisser aller l’esprit en toute liberté en laissant de côté tous les obstacles. Observer et écouter la vie encore et encore, se focaliser sur un point, laisser la main dérouler le chemin, court ou long, en vers ou en prose et quelle que soit la façon choisie, conventionnelle ou pas, la translation de ce qui ressort de l’âme plaira forcément à son auteur. Et si en plus, les mots et les phrases sont tournés de belle façon, le lecteur appréciera la subtilité et prendra sa part à lui. Je ne pense pas qu’il soit possible de se dire, demain, je vais écrire un poème, ça ne marche pas comme cela. C’est un concours de circonstances qui définit le moment choisi et qui te dit tout à coup, c’est bon il y a un filon, va creuser, sort une pépite de ton être et alors, comme le chercheur d’or, elle te fera plaisir en premier et ensuite à ceux autour de toi qui profiteront de la découverte de ton trésor. Etienne
Quel plaisir que de créer son propre site sans contraintes, sans notions de commerce ou de rendement. Écrire librement le ressenti, souvent subjectif comme bien des choses, que l’on a sur une musique ou autre sujet.
Séjour en Autriche au mois d’août avec ma fille cadette Mathilde, plus précisément à Salzbourg, lieu de naissance du grand Mozart. Très belle vieille ville partagée par la rivière Salzach et dominée par l’imposante forteresse.